dimanche 29 juin 2014

INNOVATION ET CROISSANCE ECONOMIQUE: ORANGE ML MONTRE LA VOIE


Orange Mali représente l'une des plus grandes et des plus performantes entreprises du Mali. Elle occupe une place de choix dans la constitution du PIB et dans la création d'emploi (plus de 34 000).

En sciences économiques il n'y a guère de réalité absolue. Cependant, il est possible de faire le parallèle entre l'initiative ''Orange Innovation'' et les nouvelles théories de la croissance économique (théorie de la croissance endogène). Les innovations qui sont présentées à ce salon d'exposition (progrès techniques) contribuent à la croissance de Orange Mali, donc à celle de l'économie malienne.

En effet, selon les adeptes de la théorie de la croissance endogène, l'accumulation de la connaissance à travers l'innovation et la recherche et développement, constituerait la source de la croissance économique.

De plus, il existe des externalités (services accessible à coût 0) positives entre les entreprises en raison de la diffusion rapide des nouvelles connaissances que les brevets ne protègent pas entièrement.

La consommation et la production augmenteraient donc éternellement à un taux positif et les revenus par tête augmenteraient toujours contrairement à ce que nous enseignent les théories traditionnelles keynésiennes (Harrod-Domar) et néoclassiques (Solow).

Les rendements ne sont guère décroissants affirment ils. Ils sont à l'évidence croissants et les études empiriques le prouve en Angleterre.

Qu'en est-il ou qu'en sera t-il pour le Mali?

En attendant d'avoir la réponse à cette question, Orange Mali montre la direction à suivre. Alors, suivons le pas et marchons vers le Futur d'ici la seconde édition de "Orange Innovation".

Oury KONE
#Oranginov

vendredi 18 avril 2014

LE LIVRE AU SERVICE DE LA PAIX

LA PREMIÈRE ÉDITION DU SALON DU LIVRE DE SEGOU OUVRE SES PORTES DANS LA CITE DES BALANZANS

Vendredi, dix huit avril deux mille quatorze, le Salon du Livre de SEGOU – SALISE – a gracieusement ouvert ses portes à la population de la cité des Balanzans. 

Cette initiative de la Direction du Journal ‘’Bonne lecture’’ a été chaleureusement accueillie par les autorités et la population locale.

Dans son allocution de bienvenue, Monsieur SIMAGA, Maire de la commune urbaine de SEGOU, convaincus que le SALISE permettra d’atteindre les résultats escomptés, a adressé ces vifs encouragements aux initiateurs. Et ce, après avoir souligné ‘’l’amère constat de la disparition du goût de la lecture dans les milieux scolaires et universitaires surtout, avec l’avènement des nouvelles technologies de l’information et de la communication.’’ 

Selon le Commissaire Général du SALISE, Monsieur MACALOU, les facteurs sous-jacents sont nombreux et assez complexes, entre autres : l’absence de la culture du livre en famille, l’insuffisance des infrastructures de lecture et la méconnaissance des métiers du livre.

  • Faire connaître et la reconnaître des productions d’ivresse écrites par de célèbres écrivains de la région ;
  • Faciliter l’accès direct des populations aux livres ;
  • Faire la promotion de la lecture en milieu scolaire et estudiantin ;
  • Faire la promotion des métiers du livre ;
  • Créer de valeurs ajoutées dans la région, entre autres ;
Suite à ce constat, telles sont les objectifs que souhaitent atteindre le SALISE.

Monsieur MACALOU a également remercié tous les acteurs (autorités locales et nationales ; populations, partenaires etc.) ayant contribué à la réalisation de ce projet.

Quant au Représentant du Gouverneur de la région, il a rappelé à l’audience toute l’importance de la lecture et le caractère salutaire de cette initiative ; avant de déclaré officiellement ouvert la première édition du Salon du Livre de SEGOU.

Placée sous le thème : Livre et culture de la paix, cette première édition se veut être un espace d’échange et de partage d’expériences pour une réconciliation générationnelle et géographique de notre pays.

Promouvoir la lecture en milieu scolaire à travers des animations de livre : telle est la mission assignée au Club des amis du livre ; créer par Feu PIERRE DJIRE, Bibliothécaire de la Bibliothèque de Lecture Publique de SEGOU. Pour avoir consacré son vivant à cultiver, entre autres choses, le goût de la lecture chez les jeunes de SEGOU ;  un vibrant hommage lui a été rendu par ses filleuls.

La cérémonie a été agrémentée par un sketch sur l’importance de la lecture et des poèmes déclamés par de brillants orateurs.  Une cérémonie riche en couleurs et en émotions, comme pour réaffirmer cette citation de Françis BACON : « la lecture apporte à l’homme plénitude, le discours assurance et l’écriture exactitude ».

Plusieurs personnalités étaient au rendez vous. Parmi eux :
  • Le premier conseiller de l’ambassade des Etats Unis au Mali ;
  • Le représentant de son Excellence Monsieur le Premier Ministre Moussa MARA ;
  • L’ex ministre Monsieur GAOUSSOU DRABO ;
  • Le Directeur Général de l’ANPE ;
  • De nombreux écrivains et éditeurs.
Pendant trois jours, SEGOU célébrera cette richesse avec plaisir et amour à travers des expositions-ventes ; des conférences débats et ateliers thématiques, etc.
La première édition du SALISE est parrainé par le Docteur Noumou Ben DIAKITE, Président de l’Association Damien BOITEUX, Auteur du roman ‘’mourir pour l’AZALAÏ’’.
‘’Une nation qui lit est une nation qui gagne’’ ; Nelson MANDELA

‘’ Je souhaite que le Mali soit parmi ces pays qui gagne’’ ; Ousmane SIMAGA.


mercredi 12 février 2014

Hôpital de SEGOU: qualité de service déplorable.



UNE QUALITÉ DE SERVICE DÉPLORABLE

Mercredi douze février deux mille quatorze, en citoyenne ordinaire en quête de l’un de ses droits fondamentaux, le droit à la santé, je me rends le matin de bonne heure à l’hôpital Nianankoro Fomba de SEGOU.  

J’arrive aux environs de huit heures et demie, trouvant devant le bureau des admissions, une file d’attente stagnante. Puis que je suis arrivée jusque là, je décide de prendre mon mal en patience.  Et ce n’est que trente minute après que j’accède au guichet où je paye un billet pour la consultation.
Ensuite je me rends au service sollicité.  Jour de chance ! A vue d’œil, il y a très peu de patients en attente et trois bureaux ouverts pour les consultations. Ça devrait aller vite ! Je m’assois sur le banc faisant face au bureau III. 

A ma grande surprise, l’attente est interminable. De temps à autres des agents en blouse (médecins, infirmier peut être) franchissent la porte de l’un des bureaux et en ressortent quelques minutes après. Bien pressés, chacun poursuit son petit chemin. 

Sur recommandation d’agents, une, puis deux personnes accèdent à la salle de consultation. Quelle injustice ! A la sortie du second patient et après une heure d’attente, j’interpelle le médecin qui était sur le point de s’en aller. 

-    Pourrais-je me faire consulter s’il vous plait ? il n’y a plus de patients et cela fait un bout de temps que je patiente. 

D’un ton bien catégorique, Docteur Traoré, ainsi s’appelle t-il, m’informe que les mercredis sont consacrés aux programmes opératoires et par conséquent, pas de consultation sauf en cas d’urgence. Pis encore, selon ces propos, le bureau des entrées en est informés Il ne comprend donc pas pourquoi l'on m'a vendu le billet. Pour ne pas perdre une heure et demie de mon temps pour rien, je décide de négocier ; mais rien n’y fit. Alors je retourne au guichet pour me faire rembourser ; car j’ai bien payé pour la consultation ! 

J’expose la situation, et la dame affiche un air stupéfait. « Comment ça il n’y a pas de consultations ? »  Elle pose des questions par ci et par là à ses collègues puis me demande de patienter le temps de trouver une solution. 

Une quinzaine de minutes d’attente ; - Oury KONE ! 

Je réponds à l’appel. Un Monsieur, plutôt gentil, s’exprimant dans un français qui laisse à désirer, me demande de repasser le lendemain. Impossible, puisque le lendemain je vais à Bamako. Je lui propose de me rembourser. 

A l’évidence, ce n'était pas aussi simple que je le croyais.
Le Monsieur s’adresse à moi en ces termes (vous comprendrez que j’ai du corriger le français) :
-     - Nous avons informé la Direction de l’hôpital de votre cas. Le billet ayant déjà été saisi nous ne pouvons le rembourser que sur autorisation de la Direction. Vous allez donc devoir patienter pour vous faire rembourser.

-          Ca prendra combien de temps environ ?

-          Deux heures peut être, sinon plus ! Nous sommes désolés Madame.
Onze heures, et je patiente toujours sans pouvoir me faire consulter et encore moins rembourser. Parce que je ne pourrais patienter toute une journée fortuitement, je décide d’aller m’enquérir de la suite et m’en aller si rien n’est fait. 

Là seulement, vers onze heures et demie, et après trois heures d’attente et de va et vient, l’on m’informe qu’un médecin assurera finalement la consultation. Je quitte l’enceinte de l’hôpital aux environ de midi. 

Je ne suis sans doute pas la seule à avoir vécu une situation pareille. S’il faut à chaque fois mener un parcours de combattant pour accéder aux services de bases, chers amis, je réfléchirai à double reprise avant d’aller perdre une journée entière à l’hôpital si ce n’est un cas de force majeure… Ceci s’est déroulé hier à l’Hôpital principal de SEGOU. Les autres hôpitaux ne font certainement pas exception à la règle ; les services publics et parapublics, de manière générale non plus.

Peut-on parler de changement ou de développement, si les services publics persévèrent dans la médiocrité ? 

Oury KONE


lundi 10 février 2014

DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME

C'EST POUR NOUS TOUS, 

SANS DISTINCTION AUCUNE

L'article 1 de la Déclaration universelle des droits de l'homme nous apprends que nous sommes tous libres et égaux en droits et en dignité et que nous devons agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité

Et bien dans l'article 2, nous apprenons que ladite Déclaration concerne tout être humain, sans distinction aucune. Les droits et libertés qui y sont énoncés s'appliquent à tous.

 Lisez!

ARTICLE 2




Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment:
  1. de race, 
  2. de couleur, 
  3. de sexe, 
  4. de langue, 
  5. de religion, 
  6. d’opinion politique ou de toute autre opinion, 
  7. d’origine nationale ou sociale, 
  8. de fortune, 
  9. de naissance ou de toute autre situation. 

De plus, il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit:
  • indépendant, 
  • sous tutelle, 
  • non autonome ou 
  • soumis à une limitation quelconque de souveraineté.

mardi 4 février 2014

SEGOU

La ville des 4444 balanzans

Située à deux cent quarante kilomètre de la capitale, Bamako, SEGOU est l'une des principales villes du Mali tant sur le plan socio-économique que démographique. 

Cité des Balanzans, seul arbre de la zone semi aride sahélienne à perdre ses feuilles en saison de pluies et à reverdir en saison sèche, SEGOU est une ville singulière de part sa culture. 

Majestueusement installée sur les berges du fleuve Niger, c'est une ville riche en histoire; celle de plusieurs ethnies vivant en symbiose, celle d'un grand royaume: le royaume bambara de SEGOU; celle de grands rois et de grands guerriers comme Biton COULIBALY, Da monzon DIARRA, Bakaridian KONE.

Elle a su justement mettre à profit l'héritage et la diversité culturels, à travers le festival sur le Niger. Initié en 2005, il s'agit désormais de l'une des plus grande rencontre culturelle et touristique du pays. 

Du cinq au neuf février, se déroulera en quatrième région du Mali, la dixième édition dudit festival. Après une période de crise ayant affecté tout le pays, cette édition promet d'être riche en émotion. 

Plus qu'un simple festival, il s'agit d'un grand rendez vous d'affaires et de croissance économique.

Durant toute la durée du festival du le Niger, nous vous proposons d'aller à la découverte d'une ville unique, du culte de la culture Ségovienne!

 Alors restez connectés....

lundi 3 février 2014

DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L'HOMME

NOUS SOMMES TOUS LIBRES ET ÉGAUX...




ARTICLE 1 

Tous les êtres humains naissent LIBRES et EGAUX en DIGNITE et en DROITS. Ils sont doués de RAISON et de CONSCIENCE et DOIVENT AGIR les uns envers les autres dans un esprit de FRATERNITÉ.

mercredi 1 janvier 2014

BONNE ANNEE 2014!



BONNE ANNEE 2014 !
2 = couple :                 puisse 2014 être une année d’union pour nous tous.
0 = néant :                  ZERO rêves non réalisés ; puisse l’union nous conduire à la réalisation de nos rêves enfuies et de nos légendes personnelles.
1 = unité :                   tout commence par un ; un rêve réalisé, un job, une promotion, un enfant, un voyage, … ; puisse cette année marquer le début d’UN grand changement positif pour tous.
4 = symbole de la féminité : Mères, Sœurs, Epouses ou amies…, puisse t - elles impacter durablement nos cœurs, nos vies, nos communautés, nos rêves… ; et être ainsi principal vecteur de changements positifs.
2+0+1+4 = 7 =          chiffre élémentaire magique dans la cosmogonie peulh et bambara.
7 = 3 (symbole masculin) + 4 (symbole féminin) = VIE.
Puisse 2014 fertiliser nos cœurs et nos âmes pour y semé une véritable paix individuelle.
Puisse 2014 féconder tous nos rêves et les traduire en réalité.
Puisse 2014, année magique, marquer une VIE meilleure pour tous !
7 résolutions :
N’ayons pas peurs ; peur de :
La douleur : elle nous aguerrit et fait de nous des individus plus forts et plus vivants ;
L’échec : il faut souvent tomber pour mieux se relever ; l’essentiel étant d’en tirer toujours des leçons.
La vie : on ne vit qu’une fois ! Et c’est parce que cette vie est précieuse que nous devons la vivre pleinement en affrontant nos peurs et nos démons intérieurs. Sur le chemin de la vie, lançons-nous à la quête du bonheur.
Soyons tout simplement :
Humbles : car le miel ne se dit pas doux. Mettons les autres en avant ainsi, nous serrons toujours devant. Rabaissons-nous, Dieu nous rehaussera.
Tolérants : nul n’étant parfais, qu’y a t – il de plus lâche que blâmer l’autre pour les erreurs que nous commettons nous-mêmes ? Apprenons donc à nous comprendre, à nous accepter mutuellement, à nous pardonner ; et ce pour notre propre épanouissement et celui des autres. Celui qui prend plaisir à humilier les autres, finira dans la boue.
Généreux : tout ce qu’un homme possède (argent, savoir, amour etc.) n’a de valeur que lorsqu’il est partagé avec les autres. Ceux qui partagent leurs possessions avec ceux qui n’en ont pas, sont les plus riches sur cette terre.
Nourrissons en nous l’amour, que d’amour, beaucoup d’amour !



Mes voeux les meilleurs et les plus sincères!

Oury KONE